À Rennes, le Street-Art fait parfois découvrir aux Rennais de véritables pépites. Rue Vasselot, le Mur (mur d’expression) accueille actuellement l’artiste Aéro (https://www.rennes-infos-autrement.fr/aero-le-graffeur-rennais-fait-a-nouveau-le-mur/). Mais souvent, l’humour est aussi l’invité surprise. Sur la nouvelle station de métro de Cleunay, Father Fucker (https://www.rennes-infos-autrement.fr/de-lart-engage-pour-denoncer-la-situations-des-enfants-migrants/) a détourné le mot Cleunay de la plus belle des manières, sans demander un sou pour sa prestation à la ville de Rennes. Pour la ligne b, sept œuvres d’art ont été commandées par la ville. Cette commande visait à soutenir la création artistique et à doter la b de repères emblématiques répondant à l’architecture des gares ainsi qu’à l’aménagement de leurs abords. D’un montant global de 2 039 000 €, elle a été financée par Rennes Métropole (1 650 000 €), l’État (250 000 € via le ministère de la Culture) et la Région Bretagne (139 000 €). L’ensemble comprend les œuvres d’Ugo Rondinone, de Philippe King et de Jean-Marie Appriou, un œuvre mémorielle (Fairclough) et une œuvre expérimentale (Isabelle Cornaro) et une œuvre technologique (Charles de Meaux). Crédit photo : Mathilde Heslouin.