Malgré la crise sanitaire, le CHU de Rennes poursuit « sans retard » la construction de son nouveau Centre chirurgical et interventionnel ». Il finalise désormais les programmes techniques de l’hôpital femme-mère-enfant et de l’Institut Régional de Cancérologie en 2021. « Une fois de plus, l’Etat a reconnu la qualité et la pertinence de notre projet en allouant, dans le cadre du Ségur de la santé, une aide complémentaire exceptionnelle de 80 millions d’euros qui s’ajoute aux 87 millions d’euros obtenus en 2019 », convient la directrice, Véronique Anatole-Touzet.
En 2022, la construction du bâtiment Le Centre chirurgical et interventionnel (CCI) (pour en savoir plus, c’est ici) est toujours en cours. « En fin d’année, le 2ème étage sortira de terre. Il sera complété par quatre autres dans les années qui viennent avec une livraison prévue mi-2024 ; conformément aux engagements », assure la directrice du CHU de Rennes. « En parallèle de ces travaux, des « locaux témoins » seront mis à votre disposition. Ils permettront aux utilisateurs de tester les différents espaces et d’en vérifier la conformité. »
Moins avancé que le CCI, le pôle femme-mère-enfant (FME), dédié aux prises en charge de la femme, de la mère et des enfants dans le cadre du nouveau CHU, va faire l’objet d’un travail d’études d’un an. « A l’issue de ce dialogue, le CHU choisira le meilleur projet pour en lancer la construction », ajoute la directrice. « Dans le même temps, les professionnels engagés dans le projet continuent à travailler sur son organisation. »
Tout aussi important, l’Institut régional de Cancérologie (CHU – CLCC Eugène Marquis) devrait faire l’objet d’un appel à candidatures et d’un concours au cours d’un premier trimestre 2022. En complément, la plateforme logistique de 5 800 m2 verra sa construction démarrée en juin 2022. « Les nouvelles installations seront mises en service préalablement à l’ouverture du CCI en 2024. »Pour aménager le site, une réflexion globale sur le réaménagement extérieur du site va être lancé en 2022. Elle devrait permettre « d’améliorer les flux, de réaménager le parvis de Pontchaillou, de repenser la signalétique et le parc de stationnement des visiteurs et usagers (P4). »
