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Flash infos à résumer :
Bonsoir à toutes et à tous. Voici l’essentiel de l’actualité locale de ce lundi.
FOOTBALL – STADE RENNAIS : « JAMAIS DEUX SANS TROIS ». Nouvelle désillusion pour Rennes en Ligue 1. Les Rouge et Noir ont encore laissé filer la victoire, cette fois au Havre, malgré un avantage de deux buts. Score final : 2–2. Après Nantes et Lens, le scénario se répète : un bon début de match, puis un effondrement collectif. Habib Beye a évoqué un « manque de sérénité », tandis que les supporters, furieux, parlent d’une « équipe sans âme ». Avec neuf points en sept journées, le SRFC glisse vers le ventre mou. La réception d’Auxerre, dimanche prochain, sera décisive.
JUSTICE – UN DENTISTE SUSPENDU CONFIRMÉ PAR LE TRIBUNAL. Le tribunal administratif de Rennes a confirmé la suspension d’un chirurgien-dentiste du Finistère pour graves manquements à l’hygiène. L’ARS Bretagne avait interdit au praticien d’exercer pendant cinq mois, après la découverte d’instruments mal stérilisés et de matériel vétuste. Il stélérisait son matériel en colocation avec un podologue. Le tribunal estime que la décision était justifiée « en raison d’un risque infectieux important ». Le dentiste, qui contestait la mesure, ne percevra aucune indemnité.
RENNES – LA RETRAITÉE N’ÉTAIT PAS AU COURANT DE L’ALERTE. Grosse frayeur dans une résidence rennaise ce matin. Une retraitée a cru assister à la découverte de deux cadavres, après avoir vu les pompiers remonter deux corps sur des civières. En réalité, il s’agissait de mannequins utilisés pour un exercice d’entraînement. La résidente n’avait pas entendu le message d’alerte diffusé avant l’opération. Plus de peur que de mal… et une bonne anecdote pour le voisinage.
SORTIES – DEUX NOUVEAUX SPOTS À RENNES. D’abord Chez Mariette, rue Vasselot : un restaurant chaleureux signé Victorien Darcel et Marie Burel, déjà à la tête de Goguette. Ambiance nordique, cuisine généreuse et vins soigneusement choisis. Ensuite Sipario, mail François-Mitterrand : un bar-restaurant 100 % italien, tenu par Audrey et Graziano. On y vient pour l’aperitivo, on y reste pour la dolce vita. C’était votre flash infos de deux minutes.
