Le parc du Thabor n’a pas été sans souffrir, lors de cette sécheresse. Résultat, les herbes jaunissent beaucoup, les arbres perdent leurs feuilles, les fleurs fanent plus vite que prévu. Pour sauver le carré Du Guesclin (habituellement ouvert durant la période estivale), la municipalité a interdit provisoirement sa pelouse. « Notre jardin pâtit de stress hydrique ou d’embolie gazeuse du fait de la chaleur », explique Pascal Branchu, président de l’association Nature en Ville. Le stress hydrique surgit au moment où les ressources en eau disponibles sont inférieures à la demande. L’embolie gazeuse est un dysfonctionnement hydraulique.