Le mercredi 26 mars, vers midi, un drame glaçant s’est déroulé au 38 avenue Sergent Maginot, à Rennes. Monique Boudout, 73 ans, a été retrouvée sans vie dans son petit appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble HLM (voir notre article). Dès les premières constatations, le procureur de la République de Rennes, Frédéric Teillet, avait ouvert une enquête pour vol aggravé, en raison de deux circonstances (en réunion et dans un lieu d’habitation), ainsi que pour meurtre aggravé. Cinq jours plus tard, Le Parisien révèle l’interpellation d’un suspect de 39 ans, déjà connu des services de police. Selon le média parisien, « c’est l’ADN retrouvé sur place qui aurait permis aux enquêteurs de faire cette arrestation. » D’après nos informations, la fin de la cavale du suspect s’est déroulée en fin d’après-midi. L’affaire avait été confiée à la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS), ex-Police judiciaire, de Rennes.