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Après une année particulièrement difficile pour toutes et tous, des milliers de personnes ont exprimé un besoin de vie, le temps d’un réveillon surnommé « La Grande Maskarade », explique le comité. « Aujourd’hui, une personne se retrouve incarcérée au fond d’un cachot, accusée de 16 chefs d’inculpation prétendument associés à l’organisation de cette fête libre, risquant ainsi de lourdes peines. Bien pratique pour masquer l’incurie du gouvernement dans la gestion de cette crise et mater toute velléités de vie sociale et culturelle alternative, il est présenté comme la figure du criminel irresponsable. » Aujourd’hui, le comité exige la « libération immédiate de l’inculpé » et « l’arrêt des poursuites démesurées » contre les organisateurs et organisatrices. « Qu’importe si cette personne est réellement en lien avec l’organisation, ce que nous savons c’est qu’il est inconcevable d’aller en prison pour avoir fait danser des femmes et des hommes ! » D’autres actions suivront… Premiers signataires : les comités de soutien à la Maskarade de Rennes (CDSM35), Nantes (CDSM44), Paris (CDSM-IDF) et Toulouse (CDSM31), La Coordination nationale des Sons…