À Rennes, les écologistes ont annoncé leur union avec le Parti socialiste dès le premier tour des municipales de mars prochain. « Au-delà de leur bilan conjoint catastrophique en matière d’insécurité, tient à préciser Julien Masson, représentant RN, les Rennais doivent savoir que l’étiquette verte cache en réalité un militantisme idéologique, décroissant et dogmatique. Ces élus dits “écolos” ont bétonné la ville avec les socialistes, y compris en zone inondable. Ils ont fait abattre de nombreux arbres majeurs, révélant la supercherie de leur écologie de façade et nuisant gravement à la qualité de vie des Rennais. »
Pour le RN, leur idéologie et leur sectarisme ne sont aussi plus à démontrer. Et d’évoquer : l’opposition à l’installation de Safran, la politique anti-automobilistes, le soutien au séparatisme des ZFE ; le rejet du Meeting aérien et du Tour de France à Rennes, l’Interdiction de la pêche, les subventions réévaluées pour les associations accueillant des « mineurs non-binaires »… « Sous le vernis vert, c’est bien le rouge militant qui domine. »
Au passage, le RN s’en prend à Priscilla Zamord. « Combien de Rennais savent que leur élue “écolo” est aussi déléguée nationale du “Front de mères”, connu pour ses positions indigénistes, racialistes et antirépublicaines ? Ces positions, indignes d’une élue de la République, illustrent la faillite d’une extrême gauche qui fracture la société au lieu de la rassembler. »
Enfin, le RN donne une dernière salve. « Les “écologistes” de Rennes, avec les mélenchonnistes et les communistes, ont exigé la régularisation immédiate de la famille Mogouchkov, pourtant sur le point d’être expulsée. Il y a deux ans, Dominique Bernard, professeur de Lettres, était sauvagement assassiné par un membre de cette famille, l’islamiste Mohamed Mogouchkov. Voilà où mène l’aveuglement idéologique de cette extrême gauche hors-sol. Rennes mérite mieux que cette alliance d’idéologues rouges déguisés en verts. Vivement 2026 ! » On aura compris la détestation du RN envers les écologistes.


