Rennes Info Autrement vous propose, en partenariat avec lemagcinema.fr, un focus sur l’actualité cinématographique à Rennes
L’AFFICHE
LE SYNOPSIS
Si Lydia, une jeune trentenaire, mène une brillante carrière de sage-femme, sa vie sentimentale est un désastre. Alors qu’elle vient de se séparer, Salomé, sa meilleure amie, lui annonce sa grossesse et lui demande d’être sa sage-femme. Le jour où Lydia recroise Amro, une conquête d’un soir, avec le bébé de Salomé dans les bras, Lydia lui annonce que cet enfant est le leur. D’abord incrédule, Amro embrasse sa paternité et Lydia s’enferme dans son mensonge, au risque de tout perdre.
NOTRE AVIS
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NOTRE CRITIQUE
Le Ravissement: à la recherche de la maternité perdue (+rencontre avec Iris Kaltenbäck)
POURQUOI ALLER VOIR LE FILM EN 3 MOTS ?
Hafsia Hersi, trouble, geste sincère
ET EN TROIS IMAGES ?
OÙ ET QUAND VOIR LE FILM SUR RENNES ?
CINEMA DU TNB – Rennes
Mer 11 octobre 14:00 et 20:45 vf 2d
Du jeu 12 octobre au ven 13 octobre 14:00 et 19:00 vf 2d
Sam 14 octobre 13:15 et 19:00 vf 2d
Dim 15 octobre 13:15 et 16:45 vf 2d
Lun 16 octobre 13:45 et 19:00 vf 2d
Mar 17 octobre 17:45 et 21:15 vf 2d
LA BANDE-ANNONCE
MAIS AUSSI…
Nous avions rencontré Iris Kaltenbäck lors du dernier festival de Cannes …
La période est faste. De très nombreux bons films en ce moment sur nos écrans. Pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, la palme d’or Anatomie d’une chute de Justine Triet est toujours largement diffusé. Mais d’autres propositions méritent très largement que l’on s’y attarde. Par exemple, L’autre Laurens, film singulier s’il en est, propose un univers magnétique qui oscille entre Bruno Dumont, Bresson, par certains aspects, Winding Refn par d’autres, pour un film qui mérite résolument le détour pour ceux qui aiment le cinéma atmosphérique. Dans un registre plus populaire et conventionnel, au sens inscrit dans son époque, Le règne animal (qui nous a divisé) reçoit des critiques parfois dithyrambiques. Un premier film (de genre) à découvrir. Le dernier Luc Besson, Dogman, s’il n’est pas le chef d’œuvre que certains avaient annoncé avant sa sélection à la Mostra de Venise, et comprend bien des défauts inhérents à l’approche cinématographique de Besson, n’est pour autant pas sans intérêt, notamment l’interprétation de son acteur principal est remarquable. L’été dernier de la Catherine Breillat mérite aussi le détour, même si nous aurions aimé plus de souffre (Olivier Rabourdin y est bien moins captivant que dans L’autre Laurens, mais Léa Drucker continue d’impressionner, et certains sont captifs au charme adolescent de Samuel Kircher, frère de Paul, à l’affiche du règne animal).